Captive, prisonnière de ma propre vie.
Je suis enfermée, sans aucune échappatoire. Je ne peux faire marche arrière, mais je suis tout aussi incapable de faire un pas en avant. Bloquée par la peur, paralysée par la peine et l'amertume. La nostalgie me berce dans ce spectacle qui est ma vie et dont la marionnette principale je suis.
Les rêves plus douloureux qu'un cauchemar, les larmes plus froides que mon cœur, j'hurle :
« Pourquoi moi ? Quand est-ce que le bonheur viendra ? N'ai-je pas assez souffert ? N'est ce pas suffisant ? Combien de temps à subir encore ? Est ce vraiment ce dont vous m'avez destiné ? »
Mon interprétation est peut être fausse, au fond qu'est ce que la vérité : ai-je une vie heureuse subissant quelques tourments, ou est-ce une vie douloureuse avec des battements ? ©
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